Pôle d’expertise sur l’architecture ouverte et la sélection de fonds externes du Groupe Natixis, VEGA Investment Managers a une relation ancienne et étroite avec de très nombreuses sociétés de gestion américaines et leur perception de l’événement est pour le moins étonnante.
Sans être un « no event », ces élections semblent assez éloignées de leurs préoccupations quotidiennes, toujours centrées sur la seule sélection des titres. C’est un effet secondaire du Brexit ! Une fois encore en juin dernier en Grande-Bretagne, les sondeurs ont exposé au monde la fragile fiabilité de leurs prédictions. Les gestionnaires américains affichent leur volonté de se focaliser sur les fondamentaux des entreprises, bien plus que sur les probabilités de réaction des marchés financiers à tel ou tel résultat. Construire un portefeuille en fonction d’une victoire d’Hillary Clinton ou Donald Trump revient, ni plus ni moins, à «parier au casino », comme l’a expliqué un gérant growth : «cela ne fait pas parti du job, nous construisons un portefeuille sur du factuel, donc sur un horizon plus long qu’un sondage ou une élection».
Santé, industrie, finance…Quels secteurs sont sous influence électorale ?
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